Le diabète multiplie par deux ou trois le risque d’infection urinaire par rapport aux témoins non diabétiques1,2.

Le diabète multiplie par deux ou trois le risque d’infection urinaire par rapport aux témoins non diabétiques1,2.

Que nous apprennent les éléments de preuve ?

Une vaste enquête transversale sur la santé dans les collectivités canadiennes a comparé la prévalence du diabète de type 2 dans la population souffrant de lésions de la moelle épinière à celle d’une population ne souffrant pas de lésions de la moelle épinière. Les chercheurs ont constaté que la probabilité de diabète de type 2 était multipliée par deux dans la population souffrant de lésions de la moelle épinière3.

Cela signifie que des infections urinaires inexpliquées peuvent être liées à un diabète non diagnostiqué4.